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Victor Schoelcher qui devint militant abolitionniste déclara :« Le fouet est une partie intégrante du régime colonial, le fouet en est l’agent principal ; le fouet en est l’âme ; le fouet est la cloche des habitations.» À l'époque, chaque maître de chaque habitation possédait des fouets composés d'un manche et de lanières en cuir afin de menacer et frapper les esclaves afin de les châtier ou de les obliger à augmenter leur cadence de travail. Toute la journée, le fouet était constamment agité derrière eux faisant régner un régime de terreur. Il était fréquent qu'une simple faute domestique puisse condamner à 40-50 coups de fouet les maîtres ne changeant pas leurs habitudes même une fois les lois Mackau votées.
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